ðåôåðàò, ðåôåðàòû ñêà÷àòü
 

La drogue


d'héroïne interpellés était de 28 ans.

1 350 personnes ont été interpellées pour trafic d'héroïne en 1998, chiffre

également en diminution depuis 1996.

Il y a aujourd'hui environ 60 000 personnes sous traitement de

substitution.

Tendance statistique : la consommation d'héroïne est en diminution.

Adolescence et expériences

Première cigarette, première ivresse, premier amour, première relation

sexuelle : l'adolescence est le temps des premières expériences. Ces essais

passent par des excès, qu'ils soient " bruyants " (attitudes provocatrices)

ou " silencieux " (repli sur soi). Ces manifestations ne signifient pas à

priori que l'adolescent est en difficulté.

Pendant cette période d'hésitations (entre recherche d'autonomie ou

maintien de la dépendance vis-à-vis des parents), compliquée à vivre pour

l'adolescent comme pour son entourage, il s'agit pour les parents de

maintenir et de défendre les valeurs qui leur semblent importantes, tout en

dosant leurs interventions et l'affirmation de leur autorité.

S'il est indispensable de marquer les limites et de mettre en garde un

adolescent contre les dangers qu'il peut courir, il est tout aussi

nécessaire de le valoriser, de l'encourager, et de favoriser ses contacts

avec l'extérieur. Aider un adolescent à trouver ses forces personnelles est

aussi essentiel pour lui que de connaître les limites posées par les

adultes et particulièrement s'il manifeste une attitude de repli et qu'il

éprouve un besoin important de confiance et d'estime de lui-même.

Est-ce que c’est la curiosité des jeunes qui les amènent à la

toxicomanie? La curiosité peut donner l'envie "essayer pour voir"; mais une

seule consommation ne signifie pas "s'accrocher". Dès le plus jeune âge, la

curiosité, c'est surtout l'envie et le besoin de découvrir, de grandir, de

se développer, d'apprendre. Cela n'a alors rien de négatif !

Cependant, si une seule prise de drogue ne veut pas dire être toxicomane,

cela ne donne pas carte blanche pour essayer ! Toute consommation de drogue

comporte un risque ! Les jeunes qui n'arrivent pas à assumer les exigences

de la vie actuelle, qui souffrent de multiples problèmes et qui manquent de

soutien de la part des adultes et de l'entourage risquent, plus que les

autres, d'utiliser les drogues et en devenir dépendants.

L’usage de la drogue est fortement lié aux difficultés des jeunes dans leur

vie familiale ou sosiale.

Mais il ne faut jamais dire que c'est la faute des parents si un jour leur

enfant devient dépendant. Cette affirmation n'est pas acceptable!

Les effets, les risques et les dangers des drogues (substances

psychoactives) varient suivant les produits et l'usage que l'on en fait.

Les raisons pour lesquelles chacun peut etre amené à en consommer diffèrent

selon chaque individu, son histoire, son état de santé, son environnement

familial et social.

Les toxicomanes ont souvent une vie de famille pauvre : un sur deux a des

parents séparés ; 17% ont perdu leur père, 7% leur mère. Beaucoup ont en

outre des difficultés scolaires ou proressionnelles ; à 18 ans, 16%

seulement sont encore scolarisés (contre 75% dans l’ensemble de la

population) et plus de la moitié sont chomeurs ou sans activités. Ils se

tournent alors vers les paradis artificiels, sans savoir qu’il leur ouvrent

les portes de l’enfer.

Il est significatif que l’image que les jeunes drogués ont d’eux-memes

est beaucup moins favorable que celle des non-drogués. Des enquetes

montrent que les premiers se jugent plus pessimistes, tristes, inquiets,

énervés, fantaisistes, paresseux, dépensiers, mal organisés, sans ambition,

mal dans leur peau. Meme ceux qui ne consomment que des drogues “licites”

(alcool, tabac, médicaments psychotropes) sont plus nombreux à avoir le

cafard que ceux qui n’en utilisent pas (55% contre 21%). Ils sont meme 13%

à avoir des idées de suicides, contre 3% des non-consommateurs. Il n’y a

pas de drogués heureux.

On dit souvent:”Ces jeunes ont tellement de problèmes; ce n'est pas

étonnant qu'ils se droguent”.Mais quand meme si toutes les personnes qui

ont des difficultés se droguaient, le monde entier serait toxicomane! La

plupart des adultes et des adolescents savent bien que les drogues ne vont

pas les aider à résoudre leurs problèmes. Un jeune qui a appris à affronter

ses problèmes, au besoin avec le soutien de son entourage,parents ou amis,

ne cherchera pas à utiliser les drogues pour fuir. Les situations qui

paraissent lourdes, sans issue, seront vécues comme un défi à dépasser et

non comme une menace insurmontable.

Chaque personne instaure une relation unique à l'autre , développe des

stratégies pour éprouver du plaisir ou pour ne pas souffrir. La

consommation des substances psychoactives occupe une place dans ces

stratégies. Aucune recette n'existe donc pour éviter qu'un individu, et en

particulier une personne jeune, ne fasse usage de substances psychoactives.

L'adolescence est l'âge de tous les possibles, des expériences et des

rencontres. Ce qui peut être vécu dans un moment particulier, peut ne pas

prendre un caractère définitif, rien ne sert de dramatiser un essai, une

erreur. Dans une période de crise, il s'agira pour l'adulte de trouver le

bon moment pour se faire entendre, et adopter une attitude appropriée.

S'il n'y parvient pas, il peut rechercher l'appui de personnes compétentes.

(voir encadré les lieux d'aide et de soins).

Dire non à un jeune enfant qui s'apprête à faire quelque chose de dangereux

ou d'interdit, dire non à un adolescent sans avoir peur d'exercer son

autorité, sont des attitudes éducatives importantes. Refuser ou fuir les

conflits ne résout pas les problèmes.

Les enquêtes récentes réalisées auprès des jeunes révèlent que le dialogue

parents - adolescents tient une place capitale dans le comportement

tabagique des jeunes : les adolescents déclarant avoir une communication

facile avec leurs parents sont plutôt moins nombreux à fumer (21,9 %) alors

que ceux qui affirment qu'il est difficile de parler avec leurs parents de

choses qui les préoccupent vraiment sont 30,5 % à fumer du tabac

régulièrement. Inciter l'adolescent à retarder le plus tard possible

l'expérimentation du tabac et de l'alcool, peut atténuer le risque d'un

comportement d'usage nocif ou de dépendance

Tout comme un verre de vin ne fait pas l'alcoolique, une cigarette ne fait

pas le tabagique, un adolescent qui fume occasionnellement du cannabis

n'est pas un toxicomane ! Cette consommation ne l'entraînera pas forcément

dans " l'escalade " vers des produits de plus en plus dangereux. Les

proches peuvent aider à cette prise de conscience en donnant des

informations de base claires, précises et exactes destinées à l'aider à

évaluer ses vulnérabilités et ses points forts. Face à une offre de

produits et à l'influence de la consommation de l'entourage, il est alors

plus facile de faire des choix responsables.

Pour certaines personnes, se faire aider momentanément paraît nécessaire.

Il est possible de convaincre quelqu'un qui se sent mal après une

consommation d'ecstasy par exemple de consulter, de voir une personne de

confiance pour en parler et obtenir un soutien psychologique ou médical.

Par ailleurs, les consommations abusives et les dépendances font partie le

plus souvent d'un ensemble de symptômes : anorexie, boulimie, idées et

conduites suicidaires, troubles du comportement… Elles sont l'expression de

souffrances, de difficultés passagères ou plus profondes qu'il s'agit de

prendre en compte au cas par cas.

EN ENQUETE SUR LES CONDUITES DEVIANTES DES LYCEENS QUETE SUR LES CONDUITES

DEVIANTES DES LYCEENS

En 1997, parmi les lycéens (de 15 à 20 ans), 30 % ont, durant l'année, pris

des médicaments contre la nervosité, l'angoisse, ou pour mieux dormir (dont

10 % plus ou moins régulièrement). Les filles sont deux fois plus souvent

concernées (41 %) que les garçons (18 %).

10 % des lycéens boivent régulièrement des boissons alcoolisées et 63 %

occasionnellement ; 48 % se sont enivrés durant l'année (dont 17 % plus de

cinq fois).

L'ivresse est plus fréquente chez les garçons, en particulier pour les

états répétés (la proportion de garçons qui se sont enivrés plus de 5 fois

durant l'année est triple que celle des filles : 27 % et 9 %). Les élèves

de lycées professionnels (L.P.) sont plus concernés par cette conduite que

ceux de lycées d'enseignement général et technologique (L.E.G.T.), et les

internes plus souvent que les demi-pensionnaires et les externes (60 % des

internes se sont enivrés durant l'année, 50 % des demi-pensionnaires et 42

% des externes). Les élèves à faibles résultats scolaires ont été plus

nombreux en état d'ivresse durant l'année (66 %) que ceux qui ont des

résultats moyens (49 %) et ceux qui ont de bons résultats (45 %).

La recherche d'un état d'ivresse est une conduite qui touche une proportion

de lycéens qui s'accroît jusqu'à 18 ans, et se stabilise à cet âge. 50 %

des élèves fument : 34 % régulièrement (21 % : moins de 10 cigarettes par

jour, 13 % : 10 cigarettes et plus par jour).

Les élèves de L.P. sont plus fréquemment fumeurs que ceux de L.E.G.T., les

pensionnaires plus que les deux autres catégories. L'on a d'autant plus de

risques d'être fumeur que l'on a des résultats scolaires faibles. La

consommation des fille ne se distingue pas de celle des garçons.

La proportion de fumeurs, surtout de fumeurs réguliers, dans la population

des lycéens, augmente avec l'âge et se stabilise à 18 ans.

L'usage des diverses drogues touche les pourcentages ycéens suivants :

|Dérivés du cannabis |29,8 % |

|Produits à inhaler |5,7 % |

|Amphétamines |2,1 % |

|Cocaïne |1,9 % |

|Héroïne |1,7 % |

|Ecstasy - L.S.D. |3,4 % |

|Autres (1) |4,1 % |

66,5 % des lycéens n'ont utilisé aucune drogue durant l'année,

22,9 % n'ont fait usage que de haschich, soit 68,4 % de l'ensemble des

consommateurs de drogue,

2 % ont utilisé du haschich ainsi que d'autres drogues, soit 21,5 % de

l'ensemble

et 3,4 % ont utilisé d'autres drogues sans haschich, soit 10,1 % de

l'ensemble des usagers.

soit un total de 33,5 % de lycéens ayant consommé de la drogue

durant l'année.

Concernant la consommation de haschich, de marijuana (90 % des

consommateurs de drogues), 67,8 % des lycéens n'en ont jamais utilisé

durant l'année ; 9,4 % : 1 ou 2 fois ; 6,4 % : de 3 à 9 fois, et 14,0 % :

10 fois et plus (2,3 % non réponse).

Les élèves des deux filières se différencient peu quant à la consommation

de drogues. Les garçons sont beaucoup plus concernés (41 % d'entre eux ont

fait usage de drogues durant l'année), que les filles (27 %).

L'on a d'autant plus de risques d'être consommateurs que l'on a des

résultats scolaires faibles : 28 % des élèves qui ont de bons résultats

scolaires, 32 % de ceux qui ont des résultats moyens et 44 % de ceux qui

ont des résultats faibles. Les internes sont plus souvent concernés par

cette consommation (39 % d'entre eux), que les demi-pensionnaires (36 %) et

les externes (30 %).

Le proportion d'usagers de drogues augmente jusqu'à dix-sept - dix-huit

ans, et se stabilise à cet âge. C'est parmi les élèves les plus âgés (20

ans et plus) que l'on trouve les taux les plus élevés de consommateurs de

drogues autres que les dérivés du cannabis. L'usage de l'ecstasy se répand

régulièrement avec l'âge, passant de 1,9 % des 15 ans et moins, à 4,8 % des

18 ans et à 5,9 % des 20 ans et plus (ensemble : 3,4 %).

Tabac, alcool, drogues illicites sont des consommations que l'on retrouve

chez les mêmes individus. Ainsi 8 % de ceux qui ne fument jamais ont

consommé du haschich durant l'année, 37 % de ceux qui fument

occasionnellement, 56 % ; de ceux qui fument régulièrement moins de 10

cigarettes par jour et 69 % pour les plus gros fumeurs. 10 % des lycéens

qui ne se sont jamais enivrés durant l'année signalent qu'ils ont fait

usage de haschich ; cette consommation touche 73 % de ceux qui se sont

enivrés plus de cinq fois durant l'année.

L'engagement des lycéens dans des conduites délictueuses est d'autant plus

fréquemment rencontré que l'individu est consommateur de drogues. Ainsi,

par exemple : 1,1 % des élèves qui n'ont jamais consommé du haschich ont eu

l'occasion de faire du racket ; 5,2 % de ceux qui ont pris 10 fois et plus

de cette drogue ; 2,6 % des non consommateurs ont volé un élève, 14,5 %

pour les 10 fois et plus ; 14,8 % des non consommateurs se sont battus avec

un autre élève, 27,1 % pour les 10 fois et plus; 13,1 % des non

consommateurs ont insulté un adulte dans l'établissement, 36,8 % pour les

10 fois et plus ; 14,5 % des non consommateurs ont dégradé des matériels,

des locaux, et 39 % pour les 10 fois et plus.

***

L’attitude des Français envers les toxicomannes et la toxicomanie

Et maintenant je voudrais vous présenter un sondage publié le 17 décembre

1998 dans “ Le QUOTIDIEN DU MEDECIN” .

"La définition des toxicomanes"

"Pour vous personnellement, Les toxicomanes sont avant tout..."

| | Ensemble %|

| | |

| Des malades qu'il faut soigner |87 |

| Des délinquants qu'il faut punir |10 |

| Ni l'un, ni l'autre (ré spontanée)|2 |

| NSP |1 |

***

"La distinction entre drogues douces et drogues dures"

"Pour lutter contre la drogue, diriez-vous..."

| |Ensemble|

| | |

| |% |

| Qu'il faut faire une différence entre les drogues douces et |36 |

|les drogues dures, car ce sont des drogues de | |

|nature radicalement différentes | |

| Qu'il ne faut pas faire de différence entre drogues douces et|61 |

|drogues dures, car la consommation de drogues douces conduit | |

|souvent à celle de drogues dures | |

| NSP |3 |

"Le jugement sur des mesures de lutte contre la drogue et la toxicomanie"

"Pour chacune des mesures suivantes envisagées pour lutter aujourd'hui

contre la drogue et la toxicomanie, dites-moi si vous y êtes plutôt

favorable ou plutôt opposé ?"

| |Plutôt|Plutôt |NSP |

| | |opposé | |

| |favora|% |% |

| |ble | | |

| |% | | |

|Renforcer les actions policières contre les |94 |5 |1 |

|vendeurs de drogue | | | |

|Obliger les toxicomanes à se soigner |88 |11 |1 |

|Développer les prescriptions médicales de produits |72 |24 |4 |

|de substitution à l'héroïne pour les toxicomanes | | | |

|comme la méthadone | | | |

|Autoriser l'usage thérapeutique du cannabis pour |55 |40 |5 |

|certains grands malades | | | |

|Délivrer aux "grands drogués" de l'héroïne sous |39 |56 |5 |

|contrôle médical | | | |

***

Une société sans drogue, ça n'existe pas

"Nous savons aujourd'hui que meme si chaque substance a ses effets propres

qu'il ne s'agit pas de nier, tous les produits psychoactifs, qu'il s'agisse

de drogues illicites, d'alcool, de tabac, ou de médicaments, agissent sur

le cerveau selon des modalités comparables.

Nous savons également que les pratiques de consommation de ces produits ont

profondément évolué, ces dernière années, notamment chez les jeunes:

banalisation du cannabis expérimenté par un jeune sur trois, augmentation

des états d'ivresse répétés, maintien de la consommation de tabac à un

niveau élevé, baisse relative de la consommation d'héroine, augmentation de

celle de la cocaine, arrivée massive des drogues de synthèse, prise de

conscience des pratiques de dopage, recours de plus en plus fréquent aux

médicaments psychotropes, polyconsommation associant produits licites et

illicites, extreme fréquence de la dépendance à plusieurs produits.

Nous savons enfin que les comportements de consommation et les contextes

d'usage sont plus déterminants que les produits eux-memes pour apprécier la

dangerosité d'une situation.

C'est pour tenir compte de l'ensemble de ces éléments que le gouvernement

français vient d'adopter un nouveau plan triennal de lutte contre la drogue

et de prévention des dépendances qui concerne aussi bien les drogues

illicites, que le tabac, l'alcool et les médicaments psychotropes.

Ce plan fait de l'information et de la communication en direction du grand

public, un axe essentiel.

En effet, alors que la politique de lutte contre la drogue fait l'objet

depuis plus de 20 ans, de débats passionnés, la faiblesse de l'information

mise à disposition du grand public a laissé la place à des messages

d'origines diverses, dispersés, partiels, parfois inexacts et souvent

contradictoires.

Cette situation a renforcé les malentendus, les inquiétudes, les peurs, et

surtout l'impression d'impuissance, de sorte que les attitudes face aux

comportements de consommation de substances psychoactives oscillent encore

trop souvent entre indifférence dommageable et dramatisation excessive.

Il est vrai que, pendant longtemps, nous savions peu de choses. Et si,

depuis quelques années, nous disposons de données épidémiologiques,

pharmacologiques, neurobiologiques, sociologiques beaucoup plus nombreuses

et fiables, elles ont été peu diffusées au delà du cercle étroit des

spécialistes.

Ce déficit d'information est d'autant plus genant que les données évoluent

très vite. La mise en circulation régulière de nouveaux produits ou les

combinaisons inédites de substances impliquent une mise à jour permanente.

Il n'y a pas de société sans drogues, il n'y en a jamais eu. Il n'y a pas

de solution miracle, ni en France, ni dans aucun pays. Mais il y a beaucoup

de réponses efficaces, et l'efficacité de ces réponses (de la prévention au

traitement, à la réduction des risques, de la répression du trafic à celui

de l'usage) est directement proportionnelle à la capacité de l'ensemble de

la société (et non seulement des spécialistes) à affronter, comprendre et

partager les memes enjeux.

Aujourd'hui la connaissance est une arme qui permet de prévenir et de

diffuser une culture de la responsabilité à tous les étages de la société.

La bibliographie

> RICHARD (D.), SENON (J-L.), Dictionnaire des drogues, des toxicomanies et

des dépendances, Paris, Larousse, 1999, 433 p.

> FRYDMAN (N.), MARTINEAU (H.), La drogue : où en sommes-nous ? Bilan des

connaissances en France en matière de drogues et de toxicomanies, Paris,

1998, 417 p.

> OFDT, Drogues et toxicomanies : Indicateurs et tendances - Edition 1996,

Paris, 1997

> OFDT, Drogues et toxicomanies : répertoire des sources statistiques,

Paris, 1997

> OGIEN (A.), MIGNON (P.), La demande sociale de drogues, DGLDT, La

Documentation française, Paris, 1994.

> EHRENBERG (A.), Penser la drogue penser les drogues, Editions Descartes,

Paris, 1992

> J.BERGERET , Les Toxicomanes parmi les autres , O.Jacob 1990

> ROQUES (B.), La dangerosité des drogues : rapport au secrétariat d'État

à la Santé, Paris, 1999

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