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L'intégration des pays du sud de l'Europe avait ainsi été critiquée dans le passé ; celle des nouveaux pays ne risque-t-elle pas d'accroître encore ce problème ? Leur niveau en matière de recherche et d'innovation est en effet globalement très inférieur à la moyenne de l'UE.


 

Certes, … mais


Pas de chichis non plus dans les hôtels Formule 1. Les chambres – pour trois – ne mesurent que 9 mètres carrés. En dehors des plages horaires où la réception est assurée, c’est un distributeur automatique qui prend le relais. Quant aux toilettes et aux douches, elles sont communes à plusieurs chambres. C’est certes moins pratique pour le client, mais cela limite l’investissement et les frais d’entretien.


Silvio Berlusconi n’a fait que dire tout haut ce que la plupart des libéraux pensent tout bas : ce n’est pas l’emploi qui manque, mais la volonté d’en chercher. La société n’a pas à se préoccuper du sort des gens puisque ce sort, il ne tient qu’à eux de l’améliorer. Certes, l’incitation à travailler au noir était malheureuse. Elle est cependant secondaire dans l’affaire : les opportunités ne manquent pas, déclare en substance Il Cavaliere, il suffit de se débrouiller. Les pauvres et les sans-emploi n’ont qu’à s’en prendre à eux-mêmes s’ils rechignent à le faire.


Dans une économie de marché, un gouvernement peut être conduit à prendre parfois des mesures favorables aux entreprises, voire à certaines catégories sociales, quand c’est la condition indispensable d’une relance de la croissance, et donc de l’emploi. Mais le moment est-il venu de mener une politique favorable à l’offre et surtout aux hauts revenus ? On peut en douter. Certes, c’est l’investissement qui est aujourd’hui le plus malade. Mais est-ce en menaçant de fermer le robinet de la consommation qu’on parviendra à le relancer ? Assurément non.

Certes, l’échec du communisme n’interdit en rien une critique radicale de la domination politique des intérêts du capital, dans le cadre de l’économie de marché et de la démocratie. Mais on bute alors sur un second obstacle. Les démocraties fonctionnent en réalité comme des oligarchies : une élite économique et technocratique y maîtrise de fait l’ensemble des choix publics. Dès lors, les électeurs peuvent provoquer l’alternance des gouvernements, mais pas celle des politiques, tant que la majorité au pouvoir dans les grands partis n’y trouve pas son intérêt. Dans les années 80, la droite libérale domine la plupart des gouvernements occidentaux.

Les Quinze n'ont même pas daigné donner à Ankara quelque espoir d'être un jour admissible à l'UE en lui fixant une échéance, même lointaine. Leur silence fait office de réponse aux demandes réitérées d'un partenaire qui ne cesse de manifester son souhait de les rejoindre.

Certes, la Turquie doit encore fournir d'énormes efforts pour devenir concrètement éligible à l'intégration… Mais, si ce pays avance trop lentement en matière de respect des libertés élémentaires, il avance tout de même.


Pour certains, c'est une question de logique, de bon sens. Les pays candidats, quoi qu'en dise la Commission ou, au contraire, comme le laisse entendre la Commission, ne sont pas prêts. Les pays membres ne sont pas prêts non plus, les réformes bancales qu'ils ont décidées à Nice n'ont pas résolu, mais aggravé les questions institutionnelles… L'argumentaire de ceux qui voudraient que les Irlandais arrêtent la machine infernale de l'élargissement le temps que tout le monde se prépare est certes plus élaboré. Mais est-il moins hypocrite ? Les nouveaux candidats, nous explique-t-on d'abord, sont trop nombreux, trop pauvres, et pas assez préparés. Certes. Mais qui a décidé de résoudre le problème en une seule et large première fournée de dix candidats ? Peut-être était-ce une erreur, peut-être pas, mais il serait élégant, de la part des Quinze, de l'assumer.


De la même manière, au moment où l'attitude américaine rend plus urgent que jamais un fort contrepoids, est-il vraiment judicieux d'attiser, à Varsovie comme à Budapest et dans les capitales baltes, les braises du doute européen et de la tentation américaine ? Après tout, c'est bien Washington qui a ouvert, dès 1999, les portes de l'OTAN, et s'apprête à les rouvrir. Certes, le "geste" n'est pas vraiment comparable, mais est-ce vraiment le moment de conforter le vieux stéréotype d'une Europe de l'Ouest égoïste et peu fiable ?

Les données concernant la pauvreté, présentées entre autres dans le dossier spécial (décembre 2002) de la Revue élargissement éditée par la Direction des relations économiques extérieures (DREE), ne prêtent pas non plus à sourire : la Hongrie comptait 15 % de pauvres en 2000, et la Roumanie, qui sera, certes, de la deuxième vague de l'élargissement, détient un triste record, avec 45 %.


Elie Cohen, directeur de recherche au CNRS, autre virulent détracteur, dans le passé, de la recherche communautaire, fait lui aussi confiance à Philippe Busquin pour ne pas renouveler les erreurs du passé : "Le décrochage vis-à-vis des Etats-Unis commence à devenir un sujet politique. Certes, il y aura des pressions fortes des pays pour que chacun ait son laboratoire de recherche. Et y céder serait l'horreur absolue. Mais Philippe Busquin et ses pôles d'excellence donnent des raisons d'espérer. En outre, des systèmes innovants se sont déjà mis en place, en liaison avec les pays du nord de l'Europe. Les pays baltes sont la cour arrière de ces pays et en bénéficient déjà."

A partir du 1er juillet 2003, Ukrainiens, Biélorusses et Russes devront avoir un visa pour aller en Pologne et dans les pays baltes. Le vice-ministre des affaires étrangères s'est élevé contre "la limitation de fait de la liberté de circulation" et "l'apparition de nouvelles lignes de démarcation en Europe". Au pays du président Loukachenko, la liberté est certes un concept à géométrie variable. Mais il sera plus compliqué d'aller à l'Ouest surtout lorsque les nouveaux membres de l'UE intégreront l'espace Schengen. Il en ira de même pour les Russes qui se rendront dans les anciens pays frères.



Si (=quoique)


La première insécurité est bien celle de l’emploi, vécue directement par trois millions et demi de chômeurs (2), et indirectement par leurs familles ou leurs proches : si l’on a beaucoup évoqué la délinquance, la première raison citée comme explication du vote de 2002 (enquête du Centre d’étude de la vie politique française, le Cevipof) reste le chômage (évoquée par 61 % des sondés, contre 57 % pour la délinquance).


La réforme de 1975, qui introduit le divorce par consentement mutuel, a permis à des millions de couples de mettre fin (souvent à l’initiative des femmes) à une union qui se révélait être un échec. Mais, si les femmes vivent mieux seules que dans un couple désuni, il leur faut gérer les conséquences des ruptures, notamment les difficultés réelles qu’entraînent ces séparations.


Si une partie de l’opinion s’inquiète, non sans raison, d’une insécurité montante dans les domaines de l’emploi, de la famille ou de la ville, elle est loin d’aspirer à un retour en arrière. Le travail des femmes, le divorce et les recompositions familiales, l’avortement et la contraception sont désormais très majoritairement acceptés.


Les auteurs de l'étude proposent deux scénarios en cas de réforme ou non de la PAC. Si le budget de la PAC ne varie pas, la baisse de la subvention versée à l'agriculture française entraînerait une forte diminution de main-d'œuvre qualifiée et non qualifiée : "respectivement de 6 % et 10 % en 2003, 9 % et 13 % en 2010".

Si Silvio Berlusconi ne passe pas inaperçu, il n'est plus une exception dans le PPE, qui s'est peu à peu éloigné de ses racines démocrates-chrétiennes pour englober la grande majorité des partis du centre et de droite de l'Union européenne.


Si les mots "Constitution européenne" ne sont plus tabous, ils sont très souvent utilisés dans un sens qui ne correspond pas à celui construit par les juristes. En témoigne la confusion régulièrement entretenue dans les discours entre traité et Constitution, confusion qui débouche parfois dans la formule "traité constitutionnel".


Les exportations des PECO vers l'Europe occidentale ont progressé de 15 % par an en moyenne, dans les années 1990. Mais ce développement est resté dans une large mesure asymétrique : si l'UE représente 70 % des échanges des pays de l'Est, ils ne forment en retour que 4 % des exportations de l'Ouest. Plus significatif encore, si la population des dix pays candidats correspond à 20 % de celle des Quinze, ils ne constituent que 4 % du produit intérieur brut (PIB) de l'UE en euros courants.


Pour que la machine ne se grippe pas, il faudra évidemment l'aider, et faire preuve de solidarité. Comme avec l'Espagne, le Portugal et la Grèce, principaux bénéficiaires des fonds structurels. Les dix pays qui intégreront l'Union en mai 2004 le seront également. Ces financements, selon Emmanuel Julien, chargé au Medef des affaires européennes et internationales, "devraient servir de catalyseurs aux changements à mener"... comme ce fut le cas pour les pays du Sud.

Car si l'optimisme semble prévaloir, les experts s'accordent pour dire que les dix candidats ont quelques années difficiles devant eux.



En dépit du précédent de 1995, le gouvernement Raffarin n’hésite pas à tenter le passage en force de ses réformes, sans réelle négociation, manifestant en cela la nouvelle croyance dominante à droite : il n’y a plus de politique alternative crédible et, par conséquent, plus de réel débouché politique à d’éventuels mouvements sociaux. Et l’attitude des vaincus du 21 avril risque de conforter cette analyse.
En effet, si le gouvernement Raffarin se distingue clairement du gouvernement Jospin par son souci de démanteler les réformes sociales de la gauche, il apparaît à d’autres égards dans la continuité d’une conversion libérale qui a également touché les socialistes, en France comme partout en Europe.


Le cas de la Pologne est là pour le rappeler, dont la stagnation économique depuis deux ans est en bonne partie imputable à la politique monétaire intransigeante de sa Banque centrale. Si l’inflation en Pologne est tombée en dessous de l’inflation de la zone euro, c’est malheureusement aussi le cas de sa croissance.

A cela s’ajoutent les incertitudes de la transition. Pour les nouveaux entrants, les deux années de stabilité des changes à l’intérieur du mécanisme de change européen (MCE2) sont perçues comme une période à haut risque qu’il faut écourter au maximum. Si cette phase a été imposée pour « découvrir » et mettre à l’épreuve le taux de change auquel leur monnaie sera un jour définitivement convertie en euro, elle les expose aussi au comportement erratique des marchés. En effet, ces pays ont appris que l’ancrage du change n’est pas sans risque quand les capitaux circulent librement. La crise tchèque de 1997 en a fourni une bonne illustration, quand les capitaux étrangers, après avoir adulé la petite République, l’ont fuie massivement.


Ces nouveaux produits et services sont loin de pouvoir être tous rangés dans la catégorie des produits de luxe pour nantis, dont on pourrait se passer. La réparation des dégâts causés à l’environnement par l’industrialisation va, par exemple, requérir un travail considérable dans les prochaines décennies, dont il sera difficile de faire l’économie. De plus, la notion de produit ou de service « indispensable » est de toute façon elle-même éminemment sociale et historique : comment, par exemple, imaginer actuellement une vie digne de ce nom sans alimentation électrique à son domicile. Pourtant, il n’y a guère que 150 ans, le « produit » électricité n’existait tout simplement pas. Si le travail ne manque (et ne manquera) donc pas, son contenu et ses formes changent constamment.




Si + c’est que


Mais si les DRH ont ainsi vu leur rôle dans l'entreprise devenir stratégique, c'est aussi grâce aux apports de la technologie. Progressivement, ils ont pu se dégager de tâches indispensables mais répétitives et routinières qui, exécutées à la main, exigeaient beaucoup de temps.


Dans un pays donné, le nombre des naissances n’a de sens que rapporté au nombre de femmes en âge d’en avoir, c’est-à-dire ayant entre 15 et 49 ans, lequel a légèrement baissé d’une année sur l’autre. Résultat : l’indicateur de fécondité s’établit à 190 enfants pour 100 femmes en 2001, contre 188 l’année précédente, et 171 en 1995. Ce qui signifie que si, à chaque âge, les comportements de fécondité demeuraient à l’avenir ceux constatés en 2001, 100 femmes donneraient naissance durant leur vie féconde à 190 enfants. Or, forcément, les choses changent, sinon l’avenir serait la reproduction du passé et l’incertitude serait bannie du vocabulaire. Cela est vrai aussi dans le domaine de la fécondité. Si les femmes ont aujourd’hui moins d’enfants qu’il y a trente ans, est-ce parce qu’elles ont choisi de les avoir plus tard ou d’en avoir moins ?


Syndicalistes, responsables politiques, économistes, tous semblent d’accord : si les entreprises licencient, c’est pour augmenter leurs profits. Pour autant, il faut se garder de tout raisonnement simpliste. Aujourd’hui comme hier, les richesses – et donc les profits – viennent du travail. Les entreprises les plus profitables sont celles qui connaissent les plus forts taux de croissance, celles qui investissent et embauchent. Et si la Bourse salue parfois un plan de licenciements – Moulinex, par exemple –, c’est souvent que l’entreprise qui y recourt dispose de capacités de production inemployées qui pèsent sur sa rentabilité et menacent sa survie. L’annonce des licenciements est alors perçue comme améliorant les chances de survie pour l’entreprise.

Dans le langage boursier, la satisfaction exige une progression substantielle des profits : chez les gens bien élevés, on n’exprime ses sentiments qu’à partir d’un chiffre suffisant.
Or, voilà que, en peu de jours, quelques centaines de milliers d’opérateurs ont changé d’avis. La chose ne leur paraît plus faire de doute : le trou d’air américain, c’est fini. Si le Nasdaq repart à la hausse, c’est que tous les gens intelligents et bien élevés qui, jour après jour, scrutent les sociétés comme Elisabeth Teissier les astres, sont parvenus à cette conclusion.


Si une partie du peuple italien s’est abandonné aux bras du Cavaliere, c’est que le programme du centre gauche était tout sauf exaltant. La coalition de l’Olivier avait pour tout programme la poursuite d’une politique d’austérité dont les efforts ont certes été répartis entre tous, mais qui apparaît d’abord comme une stratégie d’adaptation du pays aux contraintes de l’économie mondiale.


Tout d’abord, les positions caricaturales de l’administration Bush ne doivent pas faire oublier que les discussions avaient été déjà très difficiles avec l’administration Clinton. Si le dialogue a toujours été tendu, c’est parce que les contraintes acceptées par les négociateurs américains à Kyoto en 1997 (7 % de réduction par rapport aux émissions de gaz à effet de serre en 1990) sont en réalité plus sévères pour eux qu’elles n’en ont l’air.


Une fois constituée, l’opinion commune acquiert le statut d’une réalité objective, ce qui, du coup, renforce la conviction de ceux qui ont participé à la décision : si les autres pensent comme moi, c’est que je suis dans le vrai. En réalité, la proposition doit être inversée : pour que le groupe fonctionne et n’explose pas, je suis amené à penser comme les autres. C’est ainsi que se forment les bulles spéculatives sur les marchés financiers, les états de grâce après les élections et… les consensus d’experts.


Oui ou non, la situation économique et sociale de la France s’est-elle améliorée depuis 1997 ? Si la réponse est « Oui », c’est que sa compétitivité ne s’est pas dégradée. Si c’est « Non », alors il faudra que quelqu’un me convainque que mes critères de jugement sont mauvais.

Même si


Enfin, les écoles ont changé. Avant, les choses étaient relativement simples. Il y avait les néoclassiques, les keynésiens et les marxistes. Même s’ils y rechignaient parfois, les économistes finissaient par se ranger dans une école, on n’ose dire un camp.


Les grands fonds de réserve qui existent à travers le monde placent aujourd'hui au maximum 60 % de leurs actifs en actions, même si leur horizon d'investissement est lointain.


Que dire également de l'environnement financier ? Même si le coût du crédit est faible, grâce à des taux à chaque fois un peu plus bas, les entreprises ne peuvent toujours pas compter sur le marché boursier pour améliorer leurs fonds propres.


Après tout, c’est de bonne guerre et, en plus, ce n’est pas faux. Même si l’on peut faire aussi remarquer que les créations d’emplois salariés relevant du régime général observées depuis 1997 (un peu plus de 1,5 million de personnes, soit 12 % de salariés en plus) ont davantage fait pour réduire, à terme, le fossé entre cotisations et prestations que l’allongement de la durée de cotisation décidé en 1993.


Les informations initiales faisaient état de 15 milliards de dollars de dettes : on en est actuellement à 40 milliards, et ce n’est sans doute pas fini. Surtout, Enron, jusqu’en 1999, réalisait à peine 10 milliards de dollars de chiffre d’affaires, essentiellement aux Etats-Unis (transport et distribution de gaz naturel par gazoduc) et un peu au Royaume-Uni (production d’électricité). Même si 10 milliards de dollars, ce n’est pas négligeable, il est excusable d’ignorer le nom d’une société texane, aux activités locales et très spécialisée.


Le nouveau président argentin, Eduardo Duhalde, n’a pas manqué de dénoncer l’ingérence du Fonds monétaire international (FMI). Certains commentateurs vont plus loin et accusent ce dernier de déclencher la crise : ses exigences en matière de rigueur budgétaire coïncident en effet avec les vagues de mesures restrictives annoncées par l’ex-ministre des Finances, Domingo Cavallo, qui ont fait descendre les Argentins dans la rue. Mais coïncidence n’est pas raison. Même si nous savons les méfaits des plans d’ajustement inadaptés imposés ces dernières années par le FMI à divers pays, le Fonds ne nous paraît pas en l’espèce un coupable plausible : il fut le plus souvent absent à l’heure du crime.

Il est encore trop tôt pour parler d’un « miracle démographique en France ». Mais la meilleure santé démographique tient sans doute, pour partie au moins, à l’existence d’une vraie politique familiale, même si elle est encore insuffisante.












[1] Ïîäðîáíåå î êàòåãîðèÿõ òåêñòà ñì. Ãàëüïåðèí È.Ð. Òåêñò êàê îáúåêò ëèíãâèñòè÷åñêîãî èññëåäîâàíèÿ, - Ì. 1981

[2] Ïîäðîáíåå ñì. Î.È. Ìîñêàëüñêàÿ «Ãðàììàòèêà òåêñòà», Ìîñêâà, «Âûñøàÿ øêîëà», 1981, ñòð. 21

[3] Î ÷àñòîòå óïîòðåáëåíèÿ êîííåêòîðîâ ñì. ïðèëîæåíèå 1

[4] Äîïîëíèòåëüíûå ïðèìåðû íà ñëó÷àè óïîòðåáëåíèÿ ýòîãî è äðóãèõ ðàçîáðàííûõ â íàñòîÿùåé ðàáîòå êîííåêòîðîâ ñì. â ïðèëîæåíèè 2

[5] Íå áóäåì ðàññìàòðèâàòü ñëó÷àè óïîòðåáëåíèÿ äàííîãî ñîþçà â ñî÷åòàíèè ñ que – ainsi que, ò.ê.  ýòî âûðàæåíèå èìååò âïîëíå  îïðåäåëåííîå çíà÷åíèå

[6] Ïðèìåð âçÿò èç ñëîâàðÿ “Le Robert Micro” èç ñëîâàðíîé ñòàòüè íà ñëîâî ailleurs.

[7] Ñì. ïðèëîæåíèå 1


Ñòðàíèöû: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7


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